J’étais tellement heureuse d’avoir été sélectionnée pour participer au Salon du Livre de Soulac, j’avais soigneusement préparé mon dossier, joint mon contrat d’édition et envoyé mon livre…Je me souviens de ma joie en recevant le mail de Catherine Haas qui m’annonçait ma participation. Cet événement est exigeant et présente auteurs et éditeurs choisis avec soin, c’est une belle fête, les organisateurs sont formidables et il me tardait de les rencontrer, d’avoir des échanges avec d’autres auteurs pendant deux jours. C’était ce week-end, le 11 et 12 Avril 2020. Ce malheur qui s’abat sur le monde nous empêche, bien sûr, de nous retrouver, je pense à vous tous ce matin, et même sans participer, nous nous retrouverons à Soulac l’année prochaine.
Rencontre à la Médiathèque d’Eysines : Monique Lachaux est eysinaise, très concernée par l’environnement et le droit des femmes. Elle viendra présenter son livre « La dernière femme » vendredi 24 janvier à 18h30 à la médiathèque Jean Degoul.
Les lecteurs s’expriment
« Merci pour ce très beau livre que j’ai terminé hier soir en version numérique (je l’avais repéré il y a quelques jours chez l’éditeur !). Merci pour cette belle figure féminine qui dit tant de vos espoirs profonds et de votre foi en l’humanité. (Féminines surtout mais il y a trois figures masculines qui méritent d’être sauvées). Essayons de rester dignes du monde à venir. »
« JUSTE MAGNIFIQUE…! »
« Merci pour ce roman, vision d’un avenir fiction qui semble proche et effrayant. Il s’inscrit dans les prémices d’une réalité au niveau environnemental et sociétal…Essayons de faire en sorte qu’Arcoste ne soit pas qu’une île ! »
« Très beau livre ! Très bien écrit et très intéressant.«
« J’ai voyagé dans le temps. J’ai suivi Eva…du prologue à l’épilogue pendant 13 jours. J’y ai retrouvé certaines idées que je partage. J’ai souvent pris le temps de la réflexion sur soi, sur le rapport aux autres, sur l’utilisation de la science, sur la nature. J’ai souvent été ému. J’ai été conforté dans mon rêve d’une autre société…plus humaine donc respectueuse de la nature. Merci pour ce bel ouvrage. »
« Comment vous remercier pour votre roman…Bouleversant à tellement de titres. »
« Je ne l’ai pas lâché avant d’atteindre la dernière page. J’y ai trouvé : finesse, poésie, délicatesse mais aussi une révolte, des convictions qui alimentent un combat. Tout cela dans une écriture subtile et maîtrisée. En même temps une langue pure, un style léger qui font le plaisir de la lecture. Mille fois bravo ! »
« Un roman qui ne peut laisser indifférent, pas vraiment de science fiction, il se passe dans un futur proche vraisemblable.
Féministe sans outrances, il donne à réfléchir sur la condition de la moitié de la population mondiale. Il est écrit dans un français soutenu très agréable à lire. J’ai bcp aimé les descriptions belles et précises qui m’ont transportée dans le paysage, mais aussi les évocations des moments de bonheur ou de sérénité, je me suis révoltée en lisant l’horreur des mauvais traitements infligés aux femmes. Enfin c’est l’originalité du thème, qui, loin d’être tendre puisqu’il s’agit des violences faites aux femmes au niveau planétaire se double d’un combat pour l’écologie. Mais d’autres femmes s’organisent pour sauver, soigner, soutenir….et puis survient un cataclysme qui redistribue les cartes en matière de domination masculine et d’écologie. Jusqu’au dernier chapitre on s’interroge sur la survie de la planète.
C’est un livre de combat, de solidarité à la gloire de l’humanité et de l’écologie.
À lire. »
« Un livre puissant et subtil, douloureux et débordant d’émotions, porté par des personnages attachants et une très belle écriture. »
« Ce livre fait écho à des pensées et des valeurs que je porte en moi, j’ai souvent eu les larmes aux yeux et je me suis identifiée à Eva. J’attendais une note d’espérance et quand elle est arrivée à la fin, j’ai senti mon coeur s’alléger. Oui, nous pouvons reconstruire ce monde et nous avons besoin d’unir nos forces, de mettre nos savoirs-faire et nos connaissances à disposition et oui, chacun a la capacité de se transformer. Sans aucune référence transcendantale, ce livre est hautement spirituel. L’écriture est belle, fluide et pleine de douceur. Un merci ému de ce beau cadeau. »
« Je viens de finir votre livre, bravo…! Intrigue…histoire…poésie…Quel travail et quelle imagination…. »
Rencontres prévues au dernier trimestre 2019 (Librairies et Centres Culturels) ainsi qu’au premier trimestre 2020 (Médiathèque). Je vous en dirai plus très vite.
Rencontre 21 Mai 2019
Venez rencontrer une auteure de la région et discuter de son oeuvre traversée par des thèmes tant universels qu’actuels.
À propos de cet événement :
La Ressourcerie donne la voix au chapitre à Monique Lachaux, une femme qui a des cordes à son arc : grande lectrice et passionnée de littérature, elle n’a pas cessé d’écrire tout en menant une carrière d’infirmière, de sophrologue et d’animatrice d’ateliers de peinture Arno Stern. Très jeune, elle a pris conscience des enjeux environnementaux et le sort réservé aux femmes dans le monde est un thème récurrent de ses inspirations. dans ses textes, elle offre une réflexion sur les différentes facettes de la domination et explore des voies de résilience.
Son roman La Dernière Femme se situe dans un futur proche où la menace environnementale est devenue une réalité. Il se déroule sur treize journée que nous passons en compagnie d’Eva, une jeune femme humaniste, chercheuse en biologie, convaincue que la protection de la planète inclut celle des femmes. Elle se trouve sur une île quand survient une catastrophe sans précédent. Devenue la « dernière femme », Robinson Crusoë au féminin, Eva Carolus va tenter de survivre en affrontant à la fois un monde régi par le masculin et un univers où les éléments se déchaînent.
On vous attend nombreuses et nombreux 🤗
– INFOS PRATIQUES –
➜ La Ressourcerie Bordeaux : Un lieu de vie au coeur de Bordeaux pour se ressourcer ensemble et prendre du temps pour soi. Ce nouveau lieu a ouvert ses portes le 1er avril.
➜ Plus d’infos : la-ressourcerie.com / 05 47 74 32 61
➜ Rejoignez la communauté sur le groupe La Ressourcerie Communauté : https://facebook.com/groups/laressourceriebordeaux/
➜ Agenda des événements : https://eventbrite.fr/o/la-ressourcerie-19762770751
➜ Accès : 21, cours du Chapeau Rouge – 3300 Bordeaux // Arrêt Quinconces : Tram B, C – Bus 2-3-6-26-29-47
Sortie de mon roman (féministe et écologiste)
FNAC, Amazon, Réseau leslibraires.fr, Cultura, Espace Culturel Leclerc, Chapitre, Decitre, Editions Saint-Honoré-Paris….disponible en version brochée ou numérique.
Mon roman intitulé « La dernière femme » se situe dans un futur proche où la menace environnementale est devenue une réalité.
Il se déroule sur treize journées que nous allons passer en compagnie d’Eva, une jeune femme humaniste, chercheuse en biologie, convaincue que la protection de la planète inclut celle des femmes. Elle se trouve sur une île quand survient une catastrophe écologique sans précédent.
La voici devenue la « dernière femme ».
Robinson Crusoë au féminin, Eva Carolus va tenter de survivre en affrontant à la fois un monde régi par le masculin et un univers où les éléments se déchaînent.
L’auteure :
Elle se consacre aujourd’hui à l’écriture, pratique le qi gong et la randonnée itinérante.
Grande lectrice et passionnée par la littérature, l’auteure n’a pas cessé d’écrire tout en menant une carrière d’infirmière, de sophrologue et d’animatrice d’ateliers de peinture Arno Stern. Très jeune, elle a pris conscience des enjeux environnementaux et le sort réservé aux femmes dans le monde est un thème récurrent de ses inspirations.
Dans ses textes, elle interroge les différents aspects de la domination et explore les voies de résilience.
(Page 11, ligne 1 à 5) La nuit tombe. Seule la ligne flamboyante de l’horizon éclaire la savane à frise-lumière. De temps à autre, Sofiane, le chauffeur, en tenue de safari, joue les guides et pointe du doigt la silhouette d’une girafe. Il aime son pays, dit que l’Afrique fait rêver tous les enfants du monde. C’est vrai.
(Page 94, lignes 7 à 10) : « …Eva a fait cent fois la traversée mais ressent toujours la même exaltation en laissant la rive gauche du fleuve et le monde compliqué des humains pour rejoindre son île, sa solitude, sa liberté…»
(Page 125, lignes 14 à 20) « …Elle est poussée par le vent arrière avec une force qui la précipite vers la grotte. En bloquant la baie vitrée, elle espère que le verre résistera aux assauts du vent. Elle allume la radio, se connecte à internet pour avoir des informations. Les réseaux habituels restent muets. Elle est seule dans la tourmente mais l’île semble plus épargnée que les villages des deux rives. Des cris d’effroi trouent la nuit… »